Tous les articles par Bon Amappétit

La soirée Bon Amappétit du vendredi 5 février

La soirée Bon Amappétit du vendredi 5 février commencera à 19h (ouverture à 18h30) :
Nous rappelons que pour participer à cette soirée, il est nécessaire de s’inscrire (le nombre de place étant limité à 50). Il reste à ce jour quelques places. N’hésitez pas à vous inscrire très rapidement à cette adresse : adressemailCBAP.jpg Rappel et précisions :
– Le lieu de cette festivité :
SALLE BIZET à RAVEL – LE PLAN POUR VENIR –

Le programme :
1) – Une première partie sera un échange sous forme d’interviews (Questions /réponses) avec des producteurs : – SOPHIE CHAUSSI productrice du Collectif Percheron – RICK DE LA BUDINERIE producteur de pains et farines – FLORENCE productrice d’œufs à  la Ferme de la Faisanderie à Villepreux.
2) – Ensuite vers 21h, il y aura un concert (partie musicale) par Verdée (http://www.verdee.fr).
Une participation financière vous sera demandée (prix libre en fonction de vos possibilités).
3) – En troisième partie de soirée, il y aura un Buffet à la bonne franquette. Un sondage Doodle a été lancé afin de connaitre vos choix (salé, sucré….). Cette soirée, organisée par de nombreux adhérents à pour but principal de mieux nous connaitre et de partager un moment convivial en dehors des distributions. Il y aura un endroit réservé pour des activités ludiques afin que les enfants puissent se divertir. Il y aura également de la musique. Nous avons la salle jusqu’à 4h du matin (délai max).
Bon weekend
Le bureau de Bon Amappétit et les adhérents qui nous ont aidé à la préparer.

Film « Demain » le 29 janvier

On pourrait organiser un covoiturage pour aller à l’Atrium ensemble. Je propose que ceux qui souhaitent venir laissent un commentaire précisant si ils ont une voiture ou cherche des places (les deux étant compatibles), à combien et l’heure à laquelle ils comptent y aller. On pourra ensuite dès le mercredi organiser par mail le covoiturage. Il y a probablement des moyens informatiques plus simples pour s’organiser mais je ne les connais pas.

Yves pdf icon Affiche-Demain.pdf

Organisation des distributions de Bon Amappétit au Club House

 

 

IMG_20160121_190358Ce jeudi soir la mise en place de cette nouvelle organisation semble avoir conquis de nombreux adhérents.

Bonjour,
je vous propose une nouvelle organisation des distributions.
Pour cela, vous pouvez télécharger le document ici

Merci d’un prendre connaissance et de me donner vos avis.


NB : Un élément dans cette organisation.
Cela concerne le rangement des cagettes.
Pour le bien de tous et surtout évitez mes remarques de la part des gestionnaires du Club house,
je vous demande de bien vouloir empiler correctement les cagettes derrière les poubelles.

Najim Ouihia
Référent contrat légumes Bon Amappétit

La ferme d’Antoine et Marion

En visite à la Giraudiére, la ferme d’Antoine et Marion.

Vendredi 8 mai, 7h du matin, une caresse à mon petit chien et direction la fenêtre pour voir « le temps qu’il fait ».
Il pleut, mais le ciel lumineux me fait penser que « ça ne durera pas ! ». Après un bon petit déjeuné avec nos amis Yvette et Patrick, nous partons tous les 4 vers la ferme de la Vallière. Yvette vous en parlera dans son article ci-après.

Il est midi, nous partons vers La Giraudière.
Au détour d’un petit chemin, la ferme apparaît dans la verdure d’une contre vallée.

Au loin des champs séparés par des haies naturelles si importantes pour l’écosystème.

Le soleil est revenu.

L’accueil d’Antoine et de Marion est formidable ! Nous nous retrouvons bien vite tous assis autour d’une belle table à déguster une tête de veau…

Puis visite guidée de la ferme si bien entretenue par nos jeunes amis.

Direction le pré où broute tranquillement le troupeau de vaches de race Salers.

Les petits veaux gambadent joyeusement alentours. Nous nous approchons et sommes vite entourés par ces grosses bêtes bien curieuses de voir qui venaient leurs rendre une petite visite.

Au loin nous apercevons le taureau, grosse bête placide mais que nous préférons voir de loin…

Ces bêtes sont propres et respirent la santé d’un élevage fait dans les règles de l’art.
Bravo à ce jeune couple qui a la passion de bien faire un métier exigeant au quotidien, et félicitations à eux.

Écrit par Alain Dubouilh

Lire l’article d’Yvette

Visite de la ferme de la Vallière

Visite de la ferme de Delphine Petit

A l’occasion de sa dernière livraison de bœuf, Antoine Ponton nous a appris l’installation, près de chez lui, d’un élevage de lapins pas encore certifié bio mais cette méthode de production est encore à l’heure qu’il est un hybride mieux que le conventionnel,… en plein air.

Il n’en n’existe qu’une trentaine en France!

Nous avons pu rencontrer l’éleveuse, Delphine Petit, lors de notre visite à la ferme chez Antoine et Marion en compagnie de Françoise et Alain Dubouilh, les 7 et 8 mai.
Delphine a été juriste spécialisée en gestion des déchets et pollutions pendant plusieurs années avant de créer son entreprise.
Les jeunes, sevrés, sont placés dans une prairie close par une barrière électrifiée qui repose largement au sol. Ils disposent d’un abri en bois dans lequel ils peuvent se réfugier, profiter d’un apport de foin (pour équilibrer l’alimentation d’herbe fraîche) et d’un distributeur d’eau. Elle vient les voir deux fois par jour afin de vérifier leur état de santé.

Elle prépare des grandes cages sur roulettes pour les lapines gestantes: une structure en bois, grillagée équipée d’une petite maison en bois dans laquelle la femelle pourra mettre bas à l’abri des regards indiscrets.

La cage sera recouverte d’une épaisse couche de fourrage qui servira tout à la fois de protection contre le soleil et la pluie mais aussi d’alimentation sèche. L’ensemble sera placé dans une prairie, l’herbe fraîche sera broutée à profusion car la cage pourra être déplacée une à deux fois par jour.
Les animaux ne sont ni vaccinés, ni vermifugés de manière allopathique: homéopathie, phytothérapie et argile sont les seuls traitements utilisés.
Delphine Petit fait partie d’une association d’éleveurs qui fonctionnent comme elle, ce qui leur permet d’échanger questionnements et conseils.

Elle complète son activité par une soixantaine de brebis d’Écosse et par quelques vaches, plus le taureau, de race Highland.

Elle a commencé à vendre ses lapins sur les marchés environnants, à 13 € le kilo, le poids moyen étant de 1,7 kg. Une livraison en région parisienne sur une base de 20 lapins minimum est envisageable au prix de 16 € le kilo.

La Mayenne, Antoine et Marion, font savoir que les amapiens de Vélizy sont toujours les bienvenus, Delphine est prête à nous rencontrer à nouveau, et à réfléchir à d’éventuelles livraisons.

Écrit par Yvette Goupillier

Lire l’article d’Alain

article sur les fermes bio (permaculture)

Le point avec la lettre ci-dessous très documentée de « La protection de la santé » :

Demain, je crée ma ferme bio !

Chère amie, cher ami,
Quel citadin ne s’est jamais dit qu’il arrêtait tout demain pour s’installer dans le Larzac et créer sa ferme bio alors qu’il était coincé dans le métro, les embouteillages ou une longue file d’attente à la caisse d’un supermarché surpeuplé, sortie de bureau oblige ?

Ce rêve peut devenir réalité. Regardez le parcours magnifique de Charles et Perrine Hervé-Gruyer qui ont créé en 2006 la ferme du Bec Hellouin à deux pas de l’abbaye cistercienne du même nom, située en Normandie. [1]

Sur une surface cultivée de 5000 m2, la ferme produit 80 paniers de légumes bio hebdomadaires. Certains en déduisent, qu’on pourrait nourrir 10 familles à l’année avec une surface cultivée de 1000 m2 [2].

En Belgique, le Jardin des Fraternités ouvrières à Mouscron existe depuis 40 ans. Y poussent plus de 5000 variétés de légumes, céréales, fleurs, plantes aromatiques et médicinales, arbres fruitiers, et espèces anciennes sur 6500 m2 [3].

Ailleurs, un producteur de blé prétend produire 150 quintaux de blé à l’hectare en associant la culture du blé à celle du trèfle blanc alors qu’en Beauce les meilleures terres produisent 130 quintaux de blé par hectares en épuisant les sols [4].

Le « miracle » de la permaculture
Ces expériences réussies d’agriculture à fort rendement sont toutes liées à l’adoption d’une méthode particulière de culture que l’on appelle permaculture. Une méthode popularisée par Bill Mollison et David Holmgren, un scientifique et un écrivain australiens qui ont développé dans une série de livres grand public, les principes d’une agriculture permanente.  Les résultats extraordinaires en permaculture ne doivent pas faire oublier qu’il s’agit d’un système totalement rationnel qui n’a donc rien de miraculeux: les résultats obtenus sont mesurables, et s’expliquent très bien. En effet, la permaculture s’appuie sur des techniques qui ont fait leurs preuves depuis des millénaires et ont été améliorées au fil des siècles au Japon, en Chine ou dans les pays Andins, pays où la production intensive est une condition de la survie des populations depuis longtemps.

Voici quelques exemples de technique utilisées :
Les interactions : la permaculture, c’est un peu la vie partagée entre différentes espèces végétales et animales qui vivent et coopèrent ensemble pour produire mieux et plus. Les légumineuses aident les céréales qui nourrissent les poules qui fertilisent les sols etc.
Le paillage : il faut couvrir le sol de déchets végétaux afin de préserver l’humidité, le protéger des herbes et insectes envahisseurs et apporter de l’engrais. La présence d’arbres mélangés à de nombreuses espèces pérennes assure le développement de plusieurs niveaux de cultures et permet une productivité verticale. La multiplication des zones tampons et interfaces (lisières, haies, différences de milieux…) favorise la biodiversité, les échanges et une productivité horizontale.

L’adaptation et la connaissance du terrain.
La force de la permaculture, c’est l’engagement et la connaissance du paysan-jardinier qui travaille avec la tête et les mains, pour optimiser son terrain, en se mettant au service de la nature. Il planifie son espace, ordonne ses cultures mais laisse à la nature sa part de liberté. La ferme permacole est d’abord une réussite de la nature. Enfin, ce modèle suppose un respect de l’homme dont l’effort est pris en compte. La ferme du Bec Hellouin par exemple, est constituée de zones concentriques. Près de la maison se trouve les espaces qui demandent le plus de travail comme le potager, puis le poulailler. Plus loin, on a semé des céréales, puis vient la forêt exploitée. La zone la plus éloignée est un cercle sauvage où la nature respire, sans être perturbée par l’activité humaine. Cette organisation permet une culture totalement biologique et améliore la productivité sur des surfaces de petites tailles. Mais ce n’est pas tout. La permaculture fait du paysan-jardinier un paysagiste et un esthète. A l’utile il associe le beau, au travail, la poésie.
Bien sûr, ces fermes demandent du soin, du travail et de la patience. Mais cela en vaut la peine car travailler à construire son jardin d’Eden a bien des avantages : augmentation de la productivité, enrichissement des sols, création d’emploi, de sens etc. Pour autant, est-il réaliste de supposer que cette approche puisse compléter significativement, voire remplacer le modèle existant ?

Nourrir 9 milliards d’êtres humains
Nous devrions être 9 milliards d’habitants sur la terre d’ici 2050, selon les prévisions démographiques (qui sont toujours à prendre avec précaution). La question de l’alimentation est donc un sujet majeur d’inquiétude. Cette préoccupation a servi de justification aux subventions agricoles partout dans le monde. Au sein de l’Union européenne, elles sont distribuées via la Politique Agricole Commune (PAC) créée en 1962. Ces politiques ont favorisé une intense mécanisation de l’agriculture et le développement d’une agriculture chimique dépendante des engrais, des herbicides, des pesticides et des fongicides. Et il est vrai qu’elles ont eu des résultats probants. Ces cinquante dernières années, la production du blé et du riz ont été multipliés par trois, ceux de la culture du maïs par cinq [5]
Résultat : nous n’avons jamais été aussi nombreux sur terre, et la proportion d’êtres humains mangeant à leur faim n’a jamais été aussi grande, même si de nombreuses personnes meurent encore de faim, aujourd’hui. Ce n’est pas un maigre exploit ! Et pourtant, les scientifiques sont inquiets.

Un modèle à bout de souffle
En réalité, la crise agricole est imminente. Pour s’en convaincre, il suffit de reprendre certains chiffres et indicateurs objectifs : Nous perdons chaque année, à l’échelle du globe 70 000 à 150 000 km 2 de terres arables. (C’est l’équivalent en superficie à plus de deux à trois Belgique par an !)
La déforestation concerne 130 000 à 150 000 km2 par an. La plupart des arbres que l’on replante (conifères ou eucalyptus) ont l’effet inverse du but recherché car ils appauvrissent et assèchent les sols.
L’activité des sols qui contiennent 80% de la biomasse chute constamment.
En France, l’équivalent d’un département est bétonné tous les 7 ans. Les déserts représentent 32 % de la terre, contre 11% autrefois. La production de bétail dans le monde (activité agricole la plus polluante) a augmenté de près de 20 % en 10 ans [6].
Depuis 10 ans, la progression de la production agricole est beaucoup plus faible. Les solutions existent ! Ces chiffres inquiétants ne doivent pas nous faire oublier que des solutions existent et que, si nos gouvernements feraient bien de s’alarmer, il est encore possible de réagir et de redresser la barre.
Par le passé, les savants n’étaient pas aussi pessimistes qu’aujourd’hui. Au XVIIe siècle, un savant hollandais, Antoine van Leuwenhoek, découvreur des spermatozoïdes au microscope, estimait que la terre pouvait nourrir plus de 13 milliards d’humains [7].
Or à l’époque, l’agriculture ressemblait davantage à la permaculture qu’à notre système moderne. Il est donc tout à fait possible d’envisager un renouveau de l’agriculture, même si cela ne sera pas sans difficultés. Il faut bien comprendre que l’accroissement des rendements des monocultures industrielles est un leurre. Les sols que nous épuisons aujourd’hui à produire de cette manière, n’auront plus rien à nous donner demain. Mais ceux qui auront pris de l’avance en développant des systèmes agricoles durables auront sans aucun doute, un avantage significatif par rapport aux autres. Et l’Europe n’est pas mal placée bien que, nous aussi, nous épuisions nos sols.
Pour éviter une crise agricole majeure et freiner le réchauffement climatique, six pistes d’actions sont à envisager (ou à renforcer) : Multiplier les fermes permacoles afin qu’elles représentent une part significative de la surface cultivée. L’agriculture biologique en France ne couvre que 4% du territoire.
Créer des départements (ou des cantons) biologiques et des zones naturelles à 100 %. Ces espaces garantissent une certaine biodiversité sur le territoire. Multiplier les forêts de feuillus et planter des arbres et des haies. C’est le seul moyen efficace de préserver l’humidité des sols et le renouvellement naturel. Développer des solutions naturelles pour l’agriculture et les faire connaître. A titre d’exemple, les travaux sur les champignons de Paul Stamets [8] sur la côte ouest des Etats-Unis méritent d’être explorés et divulgués à nos autorités et nos agriculteurs [9].
Changer notre alimentation en consommant moins de viande et en privilégiant les petits animaux. Si les protéines animales sont très utiles à la santé, il n’est pas nécessaire de prendre tous les jours, une grande portion de viande de bœuf ou de porc. En diminuant les cheptels de bétail et en privilégiant les petits animaux, on augmente la surface d’exploitation pour les végétaux et, on diminue la part de céréales (notamment le maïs) réservée au bétail. Faciliter la vie des agriculteurs : Ce point est particulièrement important. Il est évident que depuis 50 ans, les agriculteurs sont mis sous pression partout dans le monde. L’usage de pesticides à haute dose a fait des ravages. Ils travaillent de longues heures, ne sont pas toujours sûrs d’avoir une retraite, sont endettés et ne savent pas comment transmettre leur ferme ou leur domaine. Le monde agricole ne va pas bien car notre modèle est en panne.
Et lorsqu’ils tentent de développer des approches alternatives, ils sont poursuivis en justice. L’année dernière c’était Emmanuel Giboulot. Cette année, c’est au tour de Thibault Liger Belair. Il est traduit devant le tribunal pour ne pas avoir accepté de déverser des pesticides dans sa vigne contre la flavescence dorée. Une pétition de soutien a été lancée que vous pouvez signer ici.
Personne ne sait aujourd’hui comment réagir face aux nouvelles maladies qui apparaissent [10] : Il est temps de préparer l’avenir en proposant des alternatives crédibles.

Biologiquement vôtre,
Augustin de Livois

Sources :
[1] La Ferme biologique du Bec Hellouin
[2] Performance de la Permaculture et de l’Agriculture Biologique
[3] Du chômage vers le plus splendide des jardins en permaculture
[4] Faire un max de blé grâce à la permaculture : La méthode Fukuoka-Bonfils
[5] La production agricole mondiale continue d’augmenter
[6] Indice de production de bétail (2004 à 2006=100)
[7] Sept, dix ou quinze milliards d’humains : comment les nourrir ?
[8] Un champignon tueur d’insectes, le brevet qui dérange Monsanto
[9] Paul Stamets présente 6 manières de changer le monde avec les champignons
[10] Au chevet des oliviers du Salento

Les Rencontres de Poigny

Bonjour à tous,

L’association Les Rencontres de Poigny, en partenariat avec La librairie Labyrinthes de Rambouillet, vous propose dans le cadre de la quinzaine des possibles 3 rencontres exceptionnelles avec :

1) Isabelle Peloux, fondatrice de l’école du Colibri aux Amanins, le Vendredi 6 Mars à 20h30, pour une soirée projection/ débat sur l’éducation.

2) Charles Hervé-Gruyer, co-fondateur de la Ferme du Bec Hellouin, le Dimanche 8 Mars à 17h, pour une Projection/ débat sur la Permaculture.

3) Marie-Monique Robin, journaliste et réalisatrice du film « Sacré croissance », le Dimanche 15 Mars à 17h, pour une projection du film suivie d’un débat sur la croissance. L’association Les Rencontres de Poigny est à l’initiative de Françoise Vernet, Directrice de la publication Kaizen, http://www.kaizen-magazine.com/ magazine qui propose des solutions pour une société écologique et humaine.

Les rencontres auront lieu à la salle du Marais, à Poigny-La-Forêt et l’entrée est gratuite !

Delphine


pdf icon QDP_DossierPresse_fev15.pdf

Projet de financement participatif du producteur de miel Apihappy

Bonjour à tous,

Je vous relaye le projet de micro crédit de Julien Perrin, l’apiculteur qui fournit le miel de notre AMAP. http://apihappy.fr/ En quelques mots, l’activité de Julien se partage entre le métier de producteur de miel et celui de reproducteur d’abeilles noires, espèce locale plus adaptée à notre terroir. Cette activité de reproducteur demande un réel investissement, par l’étude permanente de la biologie animale, par l’utilisation d’un matériel de précision, par la patience nécessaire pour stabiliser les élevages et les lignées et par la force de conviction pour produire un travail d’exception dans des conditions environnementales et économiques de plus en plus difficiles. Aujourd’hui, notre apiculteur souhaite pouvoir automatiser une partie des opérations de la récolte de miel et notamment le conditionnement des produits afin de se consacrer d’avantages à ses travaux de reproducteurs. Il faut dire que la qualité de ses résultats suscitent une réelle reconnaissance et la chaine de distribution s’étend peu à peu pour répondre à un besoin permanent. L’élevage et la protection des abeilles et en général des espèces pollinisatrices apparait comme essentiel aux personnes qui ont une forte sensibilité environnementale. En relayant le projet de Julien au travers des AMAP, nous avons la capacité d’effectuer une action solidaire dont les bénéfices immatériels profiteront à un plus grand nombre et aux générations futures. Julien sera présent à la distribution de miel demain soir Jeudi 12 février; vous pourrez donc en parler de vive voix avec lui.

Philippe

Dans les pas de Verdée * La culture bio, musicale (:

L’agro-écologie.. sous l’angle culturel et artistique, c’est ce que nous propose Verdée à travers son projet artistique de concerts donnés dans des lieux insolites qui reflètent ce à quoi elle est attachée : épiceries/restaurants/boulangeries bio, ateliers, boutique de plantes.. Ses premiers concerts, en novembre dernier, ont eu lieu dans le 11ème arrondissement de Paris ; ils ont lieu en ce moment dans le 18ème arrondissement. Découvrez le projet « DANS LES PAS DE VERDÉE  » http://www.verdee.fr : Chanter comme on marche, comme on pense, comme on dessine, comme on rit, comme on garde une lumière allumée dans la nuit. Continuer. Elle est passée par ici, elle passera par là. Elle chemine, se faufile et sème, Verdée. Après le 11ème arrondissement en novembre dernier, place au 18ème en janvier ! Dans les Pas de Verdée : suite de l’aventure, nouveaux lieux, nouveaux « ah! », nouveaux « oh! »

Jasmine